Peu importe si vous lisez ceci au début de l’année ou au cours de l’une des quatre saisons. Nous avons tous marqué pendant les 365 jours du calendrier pour faire de l’exercice et se mettre en forme. Mais cette tentative de reprendre ou de commencer l’entraînement devient souvent plus compliquée que prévu, soit par paresse et manque de motivation, soit par des problèmes physiques, soit parce qu’ils n’aiment tout simplement pas ça, mais beaucoup de gens laissent à nouveau l’objectif de côté. Ce qui ne peut servir d’excuse, c’est le manque de tempset c’est que la formation ne doit pas être aussi longue qu’ils ont toujours mis dans nos têtes.
L’un des mythes les plus répandus sur les gymnases est qu’une bonne routine d’exercice devrait durer au moins une heure. Selon cela, passer une demi-après-midi au gymnase rendra nos exercices plus fiables ou nous en remarquerons les résultats plus tôt. Cependant, il n’est pas rare de trouver de nombreuses personnes avec leurs téléphones portables assis devant les machines à ne rien faire. L’intensité de l’entraînement est minime, et malgré le fait qu’ils passent près de deux heures au gymnase, l’effort auquel le corps est soumis est rare. À savoir, les heures passées en salle ne sont pas proportionnelles à la qualité de l’entraînement. Est-ce qu’une routine intense vaut vraiment moins que quelqu’un qui fait cinq exercices en une heure et demie tout en passant le reste du temps à se balader avec son mobile ?
Il est clair que quelque chose ne va pas avec cet argument, mais une autre question se pose alors, celle-ci à laquelle il est difficile de répondre : Quel est le temps minimum que vous devriez passer pour obtenir un bon entraînement ? Aussi bien, dépend de son intensité. Le temps que nous passons en salle de sport devient insignifiant par rapport à l’attitude et à la prédisposition qu’il faut adopter. Ces deux aspects sont fondamentaux si nous aspirons vraiment à avoir une routine saine et complète.
Une étude de Brad Shoenfeld, l’un des plus grands experts du monde du fitness, a tenté de résoudre la question du temps minimum pour s’entraîner avec succès. Pour ce faire, une équipe de chercheurs a analysé les routines d’exercices de 34 personnes. La routine devait être un effort intense : ils ont demandé aux volontaires d’exécuter la routine au plus haut niveau, en poussant le corps à la limite.
Les résultats de l’enquête pointent vers un chiffre : 13 minutes. C’est le temps nécessaire dont vous avez besoin quotidiennement pour réaliser des améliorations significatives si la routine est intense. 13 minutes bien utilisées et serrées peuvent valoir plus qu’un entraînement long et lent, avec peu d’intensité. Brûler les muscles et fatiguer le corps est la chose la plus importante de la routine, et c’est ce qui entraînera l’augmentation de la masse musculaire et l’amélioration de la forme physique.
Une bonne solution pour une mauvaise journée
Pouvoir s’entraîner efficacement en si peu de temps Il peut être utilisé pour les personnes qui ont une mauvaise journée ou qui sont tout simplement très occupées. Il y a toujours des jours comme celui-ci tout au long de la semaine, ou vous pouvez même vous retrouver avec un mois au cours duquel vous avez moins envie de vous entraîner ou ne vous donnez pas la vie nécessaire. Savoir que 13 minutes peuvent suffire pour réaliser un entraînement correct est un bon moyen de se forcer à ne pas rater une seule journée.
Ce n’est pas la même chose de réaliser une activité physique qui a priori ne nous passionne pas quand on suppose qu’il faut y passer beaucoup de temps, jusqu’à quand on est conscient qu’en quelques minutes seulement on aura fini. Cette capacité à affronter tous les entraînements, même les mauvais jours, Ce sera ce qui nous amènera à devenir accro à la routine. Parce que parfois, tout ce dont nous avons besoin, c’est de cette motivation supplémentaire pour l’avoir atteint même dans les pires moments.
Après tout, le monde de l’exercice est étroitement lié à tout ce qui vous passe par la tête. Se faire confiance, croire en la possibilité de changer son corps et avoir la force intérieure de ne pas échouer sont peut-être les pierres angulaires d’une routine réussie. Le poids, l’entraîneur personnel, les vêtements, la salle de gym… sont des facteurs déterminants secondaires par rapport à la puissance de l’esprit. Et c’est que cette nouvelle idée de réduction du temps d’entraînement aide le chef à toujours être suffisamment motivé.
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- Optimisation du titre : Les défis et besoins de la période post-partum : Le quatrième trimestreRéécriture de l’article : La naissance d’un nouveau bébé est toujours une source d’excitation pour une famille, mais elle vient également avec son lot de défis. Une nouvelle maman doit faire de nombreux changements dans sa vie pour prendre soin de son nouveau-né. Même si c’est son deuxième enfant, les ajustements nécessaires restent les mêmes après s’être habituée à une routine avec un seul enfant à charge. Chaque grossesse, accouchement et expérience sont uniques. La santé physique et émotionnelle de la maman est tout aussi importante que celle du bébé. Les 12 semaines suivant la naissance, appelées le quatrième trimestre, sont tout aussi cruciales pour la santé de la mère que les trois premiers trimestres. Malheureusement, c’est pendant cette période que les mères ont le moins d’interaction avec leur fournisseur de soins de santé, alors qu’elles en ont le plus besoin. Les mères devraient voir leur professionnel de santé dans les trois semaines suivant l’accouchement, et poursuivre les soins nécessaires jusqu’à une visite post-partum complète dans les 12 semaines. Il est important de préparer un plan de soins post-partum pendant la grossesse pour mieux se préparer au retour à la maison. L’accouchement marque la fin de la grossesse, mais le voyage physique et émotionnel d’une nouvelle maman ne fait que commencer selon les professionnels de la santé et les parents expérimentés. Les 12 premières semaines après la naissance sont floues, mais la maman et le bébé navigueront ensemble dans ce territoire inconnu. Bienvenue dans le quatrième trimestre, le nouveau monde. Mais en quoi consiste exactement le quatrième trimestre ? C’est la période entre la naissance et douze semaines après l’accouchement. Le bébé s’adapte au monde extérieur et la maman s’adapte à son bébé. Cependant, cette période peut être épuisante physiquement et psychologiquement pour les parents, avec de nombreux changements importants dans le développement du bébé. Les parents eux-mêmes subissent également de nombreux changements au cours des 12 premières semaines. Il y a une courbe d’apprentissage à franchir, du temps nécessaire pour maîtriser les techniques comme l’emmaillotage et la distinction entre les signaux de faim et les signaux d’inconfort. Les nouvelles mamans peuvent ressentir des douleurs post-partum, des difficultés avec l’allaitement et des sautes d’humeur hormonales. Avec le manque de sommeil, les nouveaux parents ont beaucoup à faire. Être parent est un événement qui change la vie. Les premiers jours de la parentalité sont enrichissants mais stressants, avec de belles premières et des obstacles importants. Ces 12 semaines mettront la patience des parents à l’épreuve et les épuiseront au-delà de leur imagination. C’est un véritable bras de fer, savourant chaque instant tout en anticipant une période plus stable. Il est courant pour les nouveaux parents de ressentir un grand nombre d’émotions. On peut se sentir joyeux une minute, puis se questionner sur sa capacité à être parent la minute suivante. Le quatrième trimestre est une montagne russe émotionnelle avec de nombreux hauts et bas. L’un des défis est de se sentir seul. Contrairement aux rendez-vous médicaux réguliers à la fin de la grossesse, on peut ne pas voir son professionnel de santé pendant 4 à 6 semaines après la naissance. De nombreux nouveaux parents connaissent une période de “baby blues” pendant les premières semaines. La dépression post-partum peut perdurer plus longtemps et être très oppressante pour une nouvelle maman. Il est important de chercher un traitement professionnel si on se sent impuissant, déprimé ou incapable de prendre soin de soi et de son enfant. Une maman qui a accouché guérit également du traumatisme de l’accouchement pendant les 6 à 8 premières semaines, qu’il s’agisse d’un accouchement vaginal ou par césarienne. Les douleurs post-accouchement peuvent rendre l’exercice douloureux, et les saignements et crampes peuvent durer des semaines. Avec une césarienne, il faut encore plus de temps pour guérir et s’adapter. La plupart des nouveaux parents passeront leur premier examen post-partum six semaines après la naissance. Néanmoins, si l’on souffre physiquement ou émotionnellement, cette attente peut sembler interminable, alors il ne faut pas hésiter à contacter son médecin. Il est crucial de surveiller son bien-être mental tout au long du quatrième trimestre. Se sentir un peu déprimé est normal, mais si sa santé mentale se détériore et qu’on n’arrive pas à y remédier, il faut demander l’aide d’un expert en santé mentale. On traverse une transition, on doit se donner le temps de mûrir psychologiquement et de s’adapter aux nouvelles tâches liées à la naissance de son bébé. Il peut être difficile de faire face à une perte, et encore plus lorsque l’on se sent constamment faible ou triste tout en gérant les changements hormonaux. Il est important d’être attentif à sa santé mentale et de se tourner vers un professionnel si nécessaire. La santé de son nouveau-né est généralement la plus grande préoccupation d’une nouvelle maman. Avoir un petit être dépendant de soi peut susciter de l’anxiété, avec un mélange d’amour et de multiples émotions. Il est normal de s’inquiéter pour le bien-être de son bébé, mais si cette inquiétude devient envahissante et impacte la vie quotidienne, il ne faut pas hésiter à demander l’aide d’un thérapeute. Le soutien du partenaire est essentiel pendant le quatrième trimestre. Il est important de se sentir aimé, car les changements causés par l’accouchement peuvent créer une relation complexe avec son propre corps. Le partenaire doit encourager et soutenir la maman dans sa pratique d’amour-propre et ses soins personnels, montrant ainsi qu’elle n’est pas uniquement définie par son rôle de prendre soin de l’enfant. Le manque d’attention et d’affection du partenaire peut avoir un impact considérable sur une nouvelle maman qui peut se sentir ignorée et indésirable. Il peut être difficile de créer des liens avec son bébé tout en respectant ses obligations professionnelles si on est une maman qui travaille. Même pendant son congé maternité, certaines femmes ne peuvent pas se déconnecter et continuent de penser à leur travail. Il ne faut pas se sentir coupable de vouloir faire une petite mise à jour ou de discuter avec des collègues. Il est important de calmer le bruit dans sa tête et de revoir ses propres perceptions. Laisser son bébé avec une nounou peut créer de la culpabilité de ne pas passer suffisamment de temps avec lui. Mais il faut se rappeler que les nounous sont des experts en garde d’enfants et seront en mesure de prendre soin de son bébé de manière appropriée. Il est crucial de noter que même si la mère n’est pas là physiquement, elle maintient un lien avec son enfant. L’allaitement est souvent considéré comme le moyen idéal de créer des liens avec le nouveau-né, mais de nombreuses femmes ne peuvent pas allaiter pour diverses raisons. Il est important de se rappeler que l’allaitement n’est pas la seule façon de créer des liens avec son bébé. - septembre 28, 2023
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