[ad_1]
Quand arrive ce moment de la journée pour se détendre et tout oublier, ce moment où nous commençons notre routine de course à pied pour nous déconnecter et faire un peu de sport en déplacement, nous sortons souvent sans plan préétabli, sans mental carte avec le chemin que nous devons prendre. Une chose en entraînant une autre, nous finissons par courir là où nous ne devrions pas pour le bien de notre corps. Ce faisant, nous ne prenons pas en compte l’un des principaux mantras de la course à pied : choisir correctement la surface sur laquelle on court.
La chose la plus normale est de descendre dans la rue et de courir partout où vous pouvez, où il y a suffisamment d’espace disponible. Cependant, ce n’est pas le critère à suivre. Dans cet article, nous mettons cartes sur table pour choisir la meilleure surface de courseréduisant ainsi le risque de blessure. Quoi de mieux, courir sur de l’herbe, de l’asphalte ou de la terre ?
Sommaire :
L’asphalte, le pire ennemi des joints
Probablement l’autoroute et la voirie urbaine sont les zones où la course à pied est le plus pratiquée, que ce soit pour l’espace ou pour la disponibilité à proximité. De plus, le fait d’être un terrain plat et régulier en fait, Apparemment, le meilleur terrain pour courir et se défouler. N’ayant pas tant d’obstacles, c’est beaucoup plus facile d’avancer et de maintenir une vitesse adéquat.
Mais les apparences sont trompeuses. De nombreux experts affirment que l’asphalte est la surface qui a le plus grand impact négatif sur notre corps Et quelles autres blessures cela peut-il causer? ledit impact ne peut pas être remplacé 100% avec des chaussures absorbant les chocs ou avec des renforts tels que des genouillères ou des chevillères. L’effet ne sera pas immédiat, mais après des années de course ininterrompue sur l’asphalte, vous percevrez progressivement des séquelles et des douleurs chroniques.
L’asphalte est un terrain dur qui punit nos articulations. Plus le sol est dur, plus le coup que notre corps reçoit est mauvais. Bien que la régularité de l’asphalte nous rende moins susceptibles de subir des blessures spécifiques, telles que des entorses à la cheville, la conclusion est que nous devons éviter cette surface le plus loin possible. Si vous n’avez pas d’autre choix que de courir dans des zones entièrement urbanisées sans grands parcs autour, essayez au moins de rendre le parcours fluide. Ce qui manquait à ton bas du corps…
L’herbe et la terre sont les meilleurs amortisseurs.
Les surfaces douces sont notre meilleur allié, surtout pour les genoux, l’articulation qui souffre le plus lors de la course. L’impact avec le sol continue, mais comme c’est un sol meuble ils amortissent beaucoup plus le choc.
Puisque l’impact ne se produit pas qu’une seule fois, mais à chaque fois que l’on fait une foulée, il est forcément plus sain de choisir une surface molle. Cela contribuera également à les os, et surtout les muscles, sont moins sollicités; Ce sera un entraînement moins agressif.
En ce sens, sachant que l’asphalte est la surface la plus dure, la terre se situe quelque part entre les deux, l’herbe étant ainsi la surface analysée la plus douce des trois.
Alors, l’herbe est-elle la meilleure option ?
Pas assez. Le plus grand avantage de l’herbe est qu’elle a le taux d’impact le plus faible car c’est la surface la plus douce. Il est parfait pour les personnes qui veulent commencer à courir ou pour celles qui souffrent régulièrement de blessures aux genoux ou aux chevilles, ou qui ont simplement certaines de ces parties légèrement touchées.
Même ainsi, s’entraîner constamment sur l’herbe comporte aussi des risques. Étant un sol mou, il est beaucoup plus irrégulier, et les cailloux et les inégalités du chemin cèdent pour devenir un fléau pour les chevilles. Il faut faire plus attention où l’on met les pieds, encore plus lorsqu’il pleut, car le sol peut glisser. Enfin, ce rembourrage supplémentaire dont nous avons parlé précédemment peut finir par surcharger les muscles.
Que préconisons-nous alors ? Un mélange entre herbe et terre. Les parcs combinent les deux plateformes, et ils constituent l’option la plus simple et la plus efficace pour tout courtier. C’est un parcours dynamique et divertissant (plus que le trottoir ou la route), et le type de surface vous permet de jouer davantage avec le parcours, pouvant même gravir des pentes sans mettre vos articulations en danger.
L’autre excellente option pour courir est les plages de sable, combiner un bon terrain, une force accrue et des paysages saisissants. Il serait commode, oui, de courir sur le sable humide du rivage, dont la surface est plus stable que le sable vierge. Si vous avez la possibilité de courir sur la plage chaque semaine, n’hésitez pas à en faire une routine. Il renforce les ligaments et les muscles des pieds comme peu d’autres.
[ad_2]